Certains propriétaires font recours à plusieurs crédits immobiliers dans le but d’accroitre leurs activités ou de développer leurs affaires. Cependant, parfois facilités par une conjoncture économique défavorable, ces crédits immobiliers deviennent des charges financières pour les propriétaires qui ne possèdent plus une capacité de paiement requise. En de telles circonstances, le rachat de crédit immobilier se trouve être une alternative appropriée.
Rachat crédit immobilier : mode de fonctionnement ?
Le surendettement est un phénomène qui guette les propriétaires immobiliers, particulièrement lorsque ces derniers souscrivent à plusieurs crédits immobiliers. Surendettés, les propriétaires ayant souscrit à plusieurs crédits immobiliers de taux différents n’arrivent plus à honorer leurs engagements. La solution du rachat de crédit immobilier consiste en une renégociation des crédits contractés afin de favoriser leur remboursement.
Généralement opérable auprès d’un institut financier ou d’une banque, le rachat de crédit immobilier implique le regroupement de tous les crédits immobiliers en un unique crédit. Ce dernier constitue dorénavant le seul crédit à rembourser sous des conditions soigneusement redéfinies. On dira que l’institut financier ou la banque a racheté les crédits immobiliers préalablement contractés par le débiteur. L’établissement financier se charge alors de proposer des modalités de paiement du crédit nouvellement constitué.
Catégorisations et avantage majeur
Il existe deux types de rachat de crédit immobilier : ce sont les rachats de crédit immobilier avec renégociation interne et avec renégociation externe. Dans le premier cas, le rachat de crédit est réalisé avec l’organisme ayant octroyé les crédits immobiliers au débiteur. Quant à la renégociation externe, mode le plus utilisé, elle engage un nouvel institut financier.
Procéder à un regroupement de crédits auprès d’un établissement financier permet au débiteur de s’engager à payer une unique mensualité. Grâce à la restructuration des crédits contractés, le débiteur fait désormais face à une charge unique dont le montant peut être revu jusqu’à 50% à la baisse, par rapport aux anciennes mensualités.
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